Stéphanie Carlier se laisse guider par la matière. C’est sa grande inspiratrice.
Cette fois, c’est l’écorce de bouleau qui a été le point de départ de son œuvre, œuvre qu’elle veut fugitive et frêle, changeante, influençable par les Eléments.
Elle avait tout d’abord imaginé créer des animaux organiques à peau d’écorce, et puis, peu à peu, la Matière lui a chuchoté autre chose.